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Huile de Haarlem
La véritable Huile de Haarlem
*
Depuis plus de 4 siècles, l’Huile de Haarlem…
Remède connu et universellement réputé, il constitue une des armes les plus puissantes dans la lutte contre un grand nombre d’états morbides et particulièrement contre ceux qui affectent le foie et les voies biliaires, les reins et les voies urinaires, l’intestin, l’appareil respiratoire et la peau.
La véritable Huile de Haarlem existe sous 3 formes : en flacon pour la prise par gouttes et l’usage externe, en gélules sans goût ni odeur, plus faciles à absorber et en suppositoires dosés pour adultes et enfants.
Le souffre est un élément indispensable au bon fonctionnement de l’organisme.
L’huile de Haarlem est la seule offrant un soufre bio disponible.
– Complément nutritionnel
La genèse de cette « médecine » remonte au XVIIème siècle à Haarlem (Hollande) centre à cette époque de l’alchimie occidentale. V.H.H est composée de 3 corps simples contenus dans une capsule de 200 mg : Soufre 16%, Térébenthine du pin 80%, Huile de lin 4%. Cette combinaison engendre une particulière biodisponibilité des composants de base, permettant d’exprimer la quintessence de leurs vertus respectives.
L’utilisation en France depuis plus d’un quart de siècle sous contrôle médical a donné une moisson d’expériences cliniques incomparables
– Action anti-infectieuse
L’essence de térébenthine et le soufre sont des anti-infectieux reconnus et particulièrement actifs sur les voies bronchiques, urinaires et biliaires
– Action de drainage
Les 3 composants permettent une élimination générale des toxines. On note ainsi une augmentation des sécrétions bronchites, urinaires ainsi qu’une action dépurative.
– Action sur les rhumatismes
L’association de l’effet anti-infectieux avec l’apport de soufre comme oligo-élément (les cartilages et les articulations en sont particulièrement riches) et l’augmentation des corticoïdes naturels diminuent l’inflammation et permettent une régénération des tissus. L’ensemble de ces actions donne à l’Huile de Haarlem une polyvalence exceptionnelle qui en fait une sorte d’aspirine des médecines douces.
Elle a été conseillée dans de nombreuses indications telles que rhumatologie, bronchites, bronchorrhée, état grippal, calculs biliaires et rénaux, rhumatismes, gouttes, sciatiques…
Pour les jeunes :
– Energie- Antifatigue
Pour les sportifs et les intellectuels, V.H.H vous aide à retrouver rapidement votre potentiel énergétique, elle remplie un rôle important de détoxication après l’effort. Avec V.H.H, vous allez pouvoir repartir en réactivant le rendement physique et intellectuel.
Pour les moins jeunes :
– Antivieillissement (rhumatismes, arthrites)
En vieillissant, les articulations ont un besoin supplémentaire en soufre.
V.H.H est recommandé à tous ceux qui veulent retarder leur vieillissement. C’est une action anti radicaux libres
– Respiratoire
Tabagisme, tabagisme passif, pollution atmosphérique, gaz d’échappement, V.H.H est recommandée également à tous ceux qui veulent protéger leur système respiratoire des agressions de l’environnement.
– Action bien-être
Les cheveux contiennent une partie importante de soufre organique non oxydé (1.8%). Peau, cheveux, ongles, V.H.H est recommandé à tous ceux qui veulent donner éclat à leur peau et leurs cheveux.
Et nos amis les bêtes, ne les oublions pas, ils souffrent des mêmes maux ! Quelle que soit leur taille ! L’Huile de Haarlem étant un produit naturel, sain aux vertus génériques, il ne pourra leur faire que du bien !
A l’appui: lettre d’un docteur
Voici la lettre du docteur Kiener, préconisant la réhabilitation d’un vieux médicament peu coûteux mais très utile : L’huile de Haarlem
« Du Moyen-âge à nos jours, un parcours sans faute d’un médicament toujours actuel : la véritable Huile de Haarlem
Je prescris depuis de longues années avec bonheur une vieille spécialité française mise sur le marché en France depuis 1924, l’Huile de Haarlem, dont les racines superficielles remontent à presque un demi millénaire. C’est une combinaison de fleur de souffre, d’essence de térébenthine et d’huile de lin, qui se présente actuellement en capsules gastro-résistantes dont l’emploi est ainsi grandement facilité.
Malgré ses lettres de noblesse, sa présentation esthétique, écologique et sa facilité d’emploi, l’Huile de Haarlem reste encire à redécouvrir. Son histoire est pourtant symptomatique du destin de nombreux remèdes dont les racines plongent dans une connaissance traditionnelle rattachée à une logique différente de celle d’aujourd’hui, ici la tradition alchimique.
Et pourtant ces remèdes, comme bien d’autres, risquent de disparaître sans même qu’on s’en aperçoive et il ne se trouvera pas toujours une équipe américaine pour les remettre au goût du jour. Ce remède est utilisé depuis le XVIIème siècle. Il résulte des travaux de l’Alchimiste TILLY qui dans le droit fil des travaux de Paracelse et de son disciple Van Helmont cherchait à réaliser les francs arcanes alchimiques. Grâce à l’action déterminante du grand médecin que fût Herman Voerhave, qui l’utilisait surtout dans les lithiases urinaires et biliaires, l’Huile de Haarlem acquit dès 1696 une grande notoriété dans toute l’Europe.
L’objectif de l’art spagirique était médical et consistait à « ouvrir » les sels, les métaux et les métalloïdes pour qu’ils soient thérapeutiquement actifs.
Aujourd’hui, grâce aux techniques modernes de spectrographie de masse de haute résolution, alliée à la spectrographie de flamme, à la RMN-H et RMN-C, l’Huile de Haarlem est aujourd’hui essentiellement décryptée totalement du point de vue chimique, son action peut-être en partie expliquée par la présence d’un soufre non oxydé, métalloïdique, colloïdal dont la bio disponibilité est stupéfiante, alors que le soufre minéral a habituellement une bio disponibilité à peu près nulle.
D’autres principes actifs : des terpènes soufrés de l’huile de térébenthine dont l’effet antirhumatismal, anti-sclérose, antiseptique, anti-inflammatoire est reconnu quotidiennement et à l’huile de lin un des acides gras les plus proches des lipides : structurels du système nerveux.
Constituant des acides-animés soufrés, le soufre a un rôle structurel dans les protéines, dans les tissus osseux, la peau, un rôle plastique dans les cartilages et les parois artérielles, un rôle fonctionnel énergétique. Dans le métabolisme vital, en tant que soufre minéral ou comme constituant des différents enzymes de la chaine respiratoire ou du cycle de Krebs, un rôle protecteur dans le dispositif de lutte contre les radicaux libres, mucolytique au niveau des bronches. Il faut également rappeler le rôle détoxifiant du soufre comme éliminateur des toxines au niveau hépatique et l’élimination biliaire.
Les indications majeures restent pour les bronchites, rhumatismes, lithiases biliaires ou urinaires à raison de, chez l’adulte, en traitement d’attaque, 3X2 capsules par jour avant les repas pendant 8 jours, puis 3 X 1 capsule par jour pendant 15 jours, ce qui n’est pas coûteux, sans oublier que pour les enfants, on diminue la dose par 2.
On n’oubliera pas également l’HUILE DE Haarlem dans tous les cas où il faut éliminer des toxines : ceci va des sportifs en phase de récupération à ceux qui souhaitent arrêter de fumer.
Pour simplifier, je dirais simplement : quand un malade souffre, n’oubliez pas le soufre. Et ce n’est pas un simple jeu de mots»
*Auteur inconnu, si vous avez cet article merci de me donner votre nom afin que je vous cite ou que je supprime cet article si vous le désirez.
huile de Haarlem
La véritable Huile de Haarlem
La véritable huile de Haarlem
Depuis plus de 4 siècles, l’Huile de Haarlem…
Remède connu et universellement réputé, il constitue une des armes les plus puissantes dans la lutte contre un grand nombre d’états morbides et particulièrement contre ceux qui affectent le foie et les voies biliaires, les reins et les voies urinaires, l’intestin, l’appareil respiratoire et la peau.
La véritable Huile de Haarlem existe sous 3 formes : en flacon pour la prise par gouttes et l’usage externe, en gélules sans goût ni odeur, plus faciles à absorber et en suppositoires dosés pour adultes et enfants.
Le souffre est un élément indispensable au bon fonctionnement de l’organisme.
L’huile de Haarlem est la seule offrant un soufre bio disponible.
– Complément nutritionnel
La genèse de cette « médecine » remonte au XVIIème siècle à Haarlem (Hollande) centre à cette époque de l’alchimie occidentale. V.H.H est composée de 3 corps simples contenus dans une capsule de 200 mg : Soufre 16%, Térébenthine du pin 80%, Huile de lin 4%. Cette combinaison engendre une particulière biodisponibilité des composants de base, permettant d’exprimer la quintessence de leurs vertus respectives.
L’utilisation en France depuis plus d’un quart de siècle sous contrôle médical a donné une moisson d’expériences cliniques incomparables
– Action anti-infectieuse
L’essence de térébenthine et le soufre sont des anti-infectieux reconnus et particulièrement actifs sur les voies bronchiques, urinaires et biliaires
– Action de drainage
Les 3 composants permettent une élimination générale des toxines. On note ainsi une augmentation des sécrétions bronchites, urinaires ainsi qu’une action dépurative.
– Action sur les rhumatismes
L’association de l’effet anti-infectieux avec l’apport de soufre comme oligo-élément (les cartilages et les articulations en sont particulièrement riches) et l’augmentation des corticoïdes naturels diminuent l’inflammation et permettent une régénération des tissus. L’ensemble de ces actions donne à l’Huile de Haarlem une polyvalence exceptionnelle qui en fait une sorte d’aspirine des médecines douces.
Elle a été conseillée dans de nombreuses indications telles que rhumatologie, bronchites, bronchorrhée, état grippal, calculs biliaires et rénaux, rhumatismes, gouttes, sciatiques…
Pour les jeunes :
– Energie- Antifatigue
Pour les sportifs et les intellectuels, V.H.H vous aide à retrouver rapidement votre potentiel énergétique, elle remplie un rôle important de détoxication après l’effort. Avec V.H.H, vous allez pouvoir repartir en réactivant le rendement physique et intellectuel.
Pour les moins jeunes :
– Antivieillissement (rhumatismes, arthrites)
En vieillissant, les articulations ont un besoin supplémentaire en soufre.
V.H.H est recommandé à tous ceux qui veulent retarder leur vieillissement. C’est une action anti radicaux libres
– Respiratoire
Tabagisme, tabagisme passif, pollution atmosphérique, gaz d’échappement, V.H.H est recommandée également à tous ceux qui veulent protéger leur système respiratoire des agressions de l’environnement.
– Action bien-être
Les cheveux contiennent une partie importante de soufre organique non oxydé (1.8%). Peau, cheveux, ongles, V.H.H est recommandé à tous ceux qui veulent donner éclat à leur peau et leurs cheveux.
Et nos amis les bêtes, ne les oublions pas, ils souffrent des mêmes maux ! Quelle que soit leur taille ! L’Huile de Haarlem étant un produit naturel, sain aux vertus génériques, il ne pourra leur faire que du bien !
A l’appui: lettre d’un docteur
Voici la lettre du docteur Kiener, préconisant la réhabilitation d’un vieux médicament peu coûteux mais très utile : L’huile de Haarlem
« Du Moyen-âge à nos jours, un parcours sans faute d’un médicament toujours actuel : la véritable Huile de Haarlem
Je prescris depuis de longues années avec bonheur une vieille spécialité française mise sur le marché en France depuis 1924, l’Huile de Haarlem, dont les racines superficielles remontent à presque un demi millénaire. C’est une combinaison de fleur de souffre, d’essence de térébenthine et d’huile de lin, qui se présente actuellement en capsules gastro-résistantes dont l’emploi est ainsi grandement facilité.
Malgré ses lettres de noblesse, sa présentation esthétique, écologique et sa facilité d’emploi, l’Huile de Haarlem reste encire à redécouvrir. Son histoire est pourtant symptomatique du destin de nombreux remèdes dont les racines plongent dans une connaissance traditionnelle rattachée à une logique différente de celle d’aujourd’hui, ici la tradition alchimique.
Et pourtant ces remèdes, comme bien d’autres, risquent de disparaître sans même qu’on s’en aperçoive et il ne se trouvera pas toujours une équipe américaine pour les remettre au goût du jour. Ce remède est utilisé depuis le XVIIème siècle. Il résulte des travaux de l’Alchimiste TILLY qui dans le droit fil des travaux de Paracelse et de son disciple Van Helmont cherchait à réaliser les francs arcanes alchimiques. Grâce à l’action déterminante du grand médecin que fût Herman Voerhave, qui l’utilisait surtout dans les lithiases urinaires et biliaires, l’Huile de Haarlem acquit dès 1696 une grande notoriété dans toute l’Europe.
L’objectif de l’art spagirique était médical et consistait à « ouvrir » les sels, les métaux et les métalloïdes pour qu’ils soient thérapeutiquement actifs.
Aujourd’hui, grâce aux techniques modernes de spectrographie de masse de haute résolution, alliée à la spectrographie de flamme, à la RMN-H et RMN-C, l’Huile de Haarlem est aujourd’hui essentiellement décryptée totalement du point de vue chimique, son action peut-être en partie expliquée par la présence d’un soufre non oxydé, métalloïdique, colloïdal dont la bio disponibilité est stupéfiante, alors que le soufre minéral a habituellement une bio disponibilité à peu près nulle.
D’autres principes actifs : des terpènes soufrés de l’huile de térébenthine dont l’effet antirhumatismal, anti-sclérose, antiseptique, anti-inflammatoire est reconnu quotidiennement et à l’huile de lin un des acides gras les plus proches des lipides : structurels du système nerveux.
Constituant des acides-animés soufrés, le soufre a un rôle structurel dans les protéines, dans les tissus osseux, la peau, un rôle plastique dans les cartilages et les parois artérielles, un rôle fonctionnel énergétique. Dans le métabolisme vital, en tant que soufre minéral ou comme constituant des différents enzymes de la chaine respiratoire ou du cycle de Krebs, un rôle protecteur dans le dispositif de lutte contre les radicaux libres, mucolytique au niveau des bronches. Il faut également rappeler le rôle détoxifiant du soufre comme éliminateur des toxines au niveau hépatique et l’élimination biliaire.
Les indications majeures restent pour les bronchites, rhumatismes, lithiases biliaires ou urinaires à raison de, chez l’adulte, en traitement d’attaque, 3X2 capsules par jour avant les repas pendant 8 jours, puis 3 X 1 capsule par jour pendant 15 jours, ce qui n’est pas coûteux, sans oublier que pour les enfants, on diminue la dose par 2.
On n’oubliera pas également l’HUILE DE Haarlem dans tous les cas où il faut éliminer des toxines : ceci va des sportifs en phase de récupération à ceux qui souhaitent arrêter de fumer.
Pour simplifier, je dirais simplement : quand un malade souffre, n’oubliez pas le soufre. Et ce n’est pas un simple jeu de mots»
Auteur inconnu
L’automne est la saison de la cure de raisin
AUTEURS: Pierre et Dominque JUVENETON www.jeune-naturopathie.com 1
LA CURE DE RAISINS
Pour un nettoyage, à la fois du corps et de l’esprit, particulièrement au printemps ou à l’automne, mais aussi en toute saison.
La cure de raisins (aussi appelée cure uvale) fait partie des monodiètes, qui consistent à ne s’alimenter que d’un seul type d’aliment au cours d’un repas ou pendant une ou plusieurs journées. En général, les monodiètes se composent de végétaux : des fruits, des légumes ou des céréales. Les cures saisonnières et les monodiètes offrent l’équivalent des bénéfices que pourrait apporter le jeûne, mais très… en douceur! Préventives et curatives, elles s’adressent à la majorité des gens. Toutefois, en cas de difficulté de pratique ou de réaction difficile à gérer, on doit impérativement consulter un médecin.
Pourquoi suivre une monodiète?
Du fait de l’abondance de nourriture, souvent trop riche, et du manque d’exercice physique quotidien, notre corps stocke, sous forme de graisses, les calories en trop qu’il n’arrive pas à brûler. De plus, à cause de cet encrassement, il lui devient impossible de régénérer ses cellules de façon efficace, et d’éliminer les toxines emmagasinées issues de la pollution, des additifs alimentaires, du stress…
Tout cela pèse sur nous, nous rend plus facilement malades, fatigués, en sous-vitalité. Aussi, il paraît judicieux de réintroduire volontairement un temps de réduction calorique qui permet à l’organisme de brûler les réserves de graisse, de renouveler les cellules, et d’éliminer les toxines.
Dans l’ordre, le corps élimine d’abord tout ce qui lui pèse, puis ce dont il n’a pas besoin, puis ce qui le dérange et enfin tout ce qui le rend malade. C’est une cure de rajeunissement pour tout notre corps.
L’intérêt des cures saisonnières
La mise au repos du système digestif, car les végétaux consommés en monodiète ne demandent aucun effort de digestion.
Une économie d’énergie nerveuse, glandulaire et mécanique. Il faut en effet savoir que notre corps utilise jusqu’à un tiers de son énergie pour la digestion quotidienne des repas. Lorsque ceux-ci sont réduits à un seul type d’aliment, très pauvre en protéines en plus, le travail est moindre pour le corps.
L’assainissement du bol alimentaire, car les végétaux, très riches en fibres et en sels minéraux, ont un effet nettoyant et drainant pour le tube digestif.
Le soulagement des fonctions hépatiques et rénales, car ces cures sont pauvres en graisses, en protéines et en sels; de plus, par leur richesse en fibres, elles facilitent l’élimination du mauvais cholestérol.
La régularisation du transit intestinal.
La régénération des tissus et des fonctions perturbées en cas de monodiètes plus longues, dont l’efficacité est comparable à celle de véritables jeûnes.
Les bienfaits de la cure de raisins
La cure de raisins associe plaisir et purification. Comme dans un grand nettoyage d’automne, elle sollicite particulièrement les émonctoires, ces organes qui permettent l’évacuation des déchets : la peau, les reins, le foie, les intestins.
« Super forme, tonus extraordinaire, dynamisme, euphorie, bien-être », ces mots reviennent souvent à la bouche de ceux qui ont suivi cette cure. La grande majorité des personnes qui avant la cure se plaignaient de fatigue ont constaté une amélioration souvent spectaculaire de leur état; amélioration d’autant plus nette que la cure est plus longue. On note d’autres bénéfices :
le corps et l’esprit sont revitalisés, ce qui procure un dynamisme et une légèreté renouvelés ainsi qu’une plus grande clarté d’esprit;
la constipation et les autres troubles digestifs et intestinaux comme les coliques, les gaz, les ballonnements, les diarrhées et les lourdeurs d’estomac sont grandement améliorés pendant et après la cure ;
- Les insomnies diminuent et l’amélioration du sommeil se poursuit bien au-delà de la cure.
- Les problèmes de peau s’atténuent peu à peu, car la peau fait partie des quatre voies d’élimination avec les selles, les urines et la respiration; après la cure, la plupart des personnes acquièrent un teint resplendissant.
- La fatigue, la nervosité et l’irritabilité sont les désagréments les plus améliorés par la cure.
- Les petits problèmes comme les bourdonnements d’oreilles, le nez bouché, le mal de tête ou les yeux qui pleurent sont éliminés ou réduits.
- Les sens sont aiguisés : ainsi l’odorat et le goût, et parfois la vue etl’ouïe, se trouvent améliorés à l’issue de la cure; la saveur des aliments
s’en trouve renforcée agréablement.
- Concernant la perte de poids, les personnes ayant un net excès dekilos avant la cure perdent en moyenne 3 kg par semaine; ensuite, cela dépend de la quantité de raisin consommée, de l’exercice physique pratiqué et du métabolisme de chacun.
Pratico-pratique
Pendant la cure, on ne consomme que du raisin tout au long de la journée, à raison d’un à deux kilos par jour, parfois trois. La cure peut se pratiquer d’un jour à plusieurs semaines. Le meilleur rythme est d’un « repas » toutes les deux ou trois heures.
Le choix du type de raisin est important. Idéalement, il sera biologique, car à se nourrir d’un seul aliment il doit être le plus sain possible. À défaut, il sera lavé très soigneusement dans plusieurs eaux.
Les variétés recommandées sont le chasselas (de couleur verte, nommé blanc en France) en raison de la finesse de sa peau et de sa teneur équilibrée en sucre, en alternance avec le muscat (vert ou bleu, nommé blanc ou noir en France). Les raisins à peau épaisse comme l’Italia sont déconseillés, tout comme l’Alphonse-Lavallée.
On veillera à ce que le raisin soit bien mûr. On avalera au moins une partie des peaux et des pépins dont les fibres facilitent le transit intestinal; par contre, si pendant la cure on a des ballonnements, il vaut mieux cesser de manger les peaux et les pépins pendant un certain temps.
On pourra aussi mâcher quelques pépins (surtout du raisin noir) riches en antioxydants, appelés OPC (oligomères procyanidoliques), qui contribuent à ralentir le vieillissement; mais on cessera aussi si cela provoque des aphtes ou des irritations dans la bouche. Dans tous les cas, chaque curiste doit suivre son instinct et être attentif aux réactions de son corps.
Il est recommandé de faire un lavement intestinal chaque jour durant la cure afin de faciliter l’élimination des raisins et des toxines libérées. Il permet de soulager les éventuels maux de tête. Ce lavement se pratique chez soi avec une poche à lavement achetée en pharmacie, dans laquelle on mettra de l’eau préalablement bouillie ou bien une décoction de camomille, qu’on aura laissée refroidir à température du corps. Se renseigner auprès de la pharmacie pour le mode d’emploi.
On peut aussi commencer la cure par une purge qui videra les intestins. Pour cela (si on n’a pas de problème de rein) on peut se procurer en pharmacie un sachet de 20 g de sulfate de magnésium que l’on dilue dans un bol d’eau tiède et que l’on boit à petites gorgées. On peut aussi stimuler la bile par trois cuillerées à soupe d’huile d’olive ajoutée au jus d’un demi-citron bio.
Vous pouvez aussi jeûner pendant les deux jours précédant la cure pour en accentuer l’effet, à condition de considérer cette expérience comme une aventure et non une corvée…
On peut continuer à travailler pendant la cure, mais il est souhaitable de s’adonner à des activités de loisir, de créativité ou de détente, qui permettent de profiter pleinement de ses effets bénéfiques.
Contre-indications
• Les personnes atteintes d’un diabète insulinodépendant (diabète maigre) ne doivent pas suivre cette cure qui est trop riche en sucres rapides pour eux.
L’exercice physique
Notre organisme est conçu pour accomplir des efforts physiques, or notre vie sédentaire ne nous le permet plus de la même façon qu’à l’époque de nos grands-parents. Rappelons qu’une activité physique active la circulation sanguine, oxygène le corps, fortifie le cœur, les poumons et les muscles, et augmente l’amplitude de la respiration. C’est pourquoi, dans une recherche de santé authentique, il est agréable et intéressant, par exemple, de marcher beaucoup pendant la cure.
La reprise alimentaire
Comme pour un jeûne, il faut soigner la reprise alimentaire sous peine de perdre les effets de la cure et d’avoir éventuellement des ennuis : des maux de ventre, des accès de fièvre, des crises de foie… Cette reprise doit correspondre à environ la moitié de la durée de la cure.
Il faut commencer par introduire du végétal sous forme de fruits et de légumes crus ou cuits. Puis de petites quantités de céréales et de poisson à partir du troisième jour. Les autres protéines animales (si vous en consommez) seront réintroduites en dernier.
Comment agit le raisin
En réalité, le mode d’action du raisin demeure un peu une énigme. On peut noter son extraordinaire richesse en sucre (de 16 à 18 %), supérieure à celle de l’abricot, de la poire, de la pêche, de la pomme ou de la fraise. Mais cette cure ne provoque pas d’hyperglycémie ni d’anémie, au contraire, car le taux de ferritine (la mesure du niveau des réserves de fer de l’organisme) est plus élevé après la cure.
Comme la plupart des fruits, le raisin contient très peu de protéines et de matières grasses, mais il est riche en minéraux et en vitamines. Son secret provient peut-être de ses acides organiques, tanins, anthocyanes, flavones et autres. En fait, très peu de personnes ont cherché à comprendre pourquoi cette cure donne tant de résultats.
Pierre et Dominique JUVENETON
www.infobienetre.com